En ce qui concerne les pathologies oculaires et les troubles de la vision, l'intelligence artificielle (IA) semble bien surpasser les médecins, conclut cette étude menée à l’Université de Cambridge. En d’autres termes, conclut l’analyse publiée dans PLoS Digital Health, les connaissances cliniques et les capacités de raisonnement de GPT-4 se rapprochent voire dépassent le niveau des ophtalmologistes spécialisés.
L’un des auteurs principaux, le Dr Arun Thirunavukarasu confirme ici que l'IA pourrait aider à « trier » les patients souffrant de problèmes oculaires, à décider quels cas sont des urgences qui doivent être prises immédiatement en charge par un spécialiste, quels sont les cas qui peuvent être gérés par un médecin généraliste et quels sont les cas ne nécessitant pas de traitement.
Si ce principe est aujourd’hui bien admis pour garantir au patient la meilleure qualité des soins possible, leur continuité permet aussi de réduire la nécessité de consultations et d’hospitalisations répétées, en particulier aux services des urgences, conclut cette équipe de médecins de l’Université de Calgary (Canada). Cette continuité qui passe principalement par une continuité relationnelle entre un patient et son médecin « de famille », mais aussi et de plus en plus, avec l’augmentation des temps partiels, par la coordination entre plusieurs médecins au sein du même cabinet ou de la même clinique.
Des compétences émotionnelles ou « pensée positive » peuvent permettre de combattent l’épuisement professionnel chez les personnels de santé, concluent ces professionnels, en exercice, de la Northwestern University (Illinois). Mais, ils préviennent aussi : « comme toute intervention, cela ne fonctionne que pour ceux qui l'utilisent ». Cette recherche, publiée dans la revue PLoS ONE, suggère que de telles interventions personnalisées pourrait bien contribuer à redonner du bien-être, mais à condition d’opérer les changements de fond indispensables dans nos systèmes de santé.
Cette équipe de psychiatres de la São Paulo Research Foundation (FAPESP) démontre l’efficacité de la méditation en pleine conscience à réduire le stress chronique et l’anxiété des personnels soignants. L’étude, publiée dans les Archives of Psychiatric Nursing aboutit à une amélioration statistiquement significative de la santé mentale après un programme de pleine conscience.
Cette revue systématique et méta-analyse de 14 recherches menées dans 7 pays précise les effets de la pratique de la pleine conscience par les infirmières sur les niveaux d'anxiété et de stress.
Si Ekivie fait office de référence dans la formation en kinésiologie, le métier de kinésiologue demeure récent et non-réglementé. Par conséquent, il convient de bien comprendre la technique afin d’orienter au mieux ses choix de reconversion professionnelle.
Définition de la kinésiologie
La kinésiologie est une discipline holistique qui libère le stress en profondeur dans le but d'améliorer le bien-être global. Elle repose sur des principes issus de la médecine orientale, en utilisant des techniques manuelles, des tests musculaires et des approches énergétiques pour évaluer et corriger les déséquilibres émotionnels dans le corps.
Si vous êtes un jeune à la recherche d'une formation, un professionnel cherchant à passer un cap et à se reconvertir, ou un parent souhaitant comprendre les options de carrière de votre enfant, cet article est pour vous. Ensemble, nous allons découvrir les différentes formations et diplômes nécessaires pour travailler dans le secteur médico-social. Nous verrons aussi les avantages d’une formation en alternance.
Cette recherche, menée par une équipe de la Cleveland Clinic Foundation (Ohio), met à l’épreuve l’exactitude des conseils donnés par des modèles de langage, comme comme ChatGPT-4 ou Google Bard. Ses conclusions, publiées dans l’American Journal of Preventive Medicine, sans exclure tout l’intérêt de l’intelligence artificielle (IA) dans la Santé, montre que les professionnels de santé ne sont près d’être remplacés.
Ce n’est pas surprenant mais cette équipe d’épidémiologistes de l’Université du Michigan confirme l’association entre l’accessibilité aux soins primaires, les recours aux Services des Urgences et à la chirurgie non élective. L’étude, qui révèle des résultats très dégradés chez les patients vivant dans des zones rurales moins dotées en organisations de soins de santé, rappelle l’urgence de régler la question des déserts médicaux.
L’intelligence artificielle a également des applications en formation médicale continue (FMC) : ici, elle est utilisée par une équipe du Mass General Brigham (MGB, Boston), pour créer des vidéos éducatives en soins pédiatriques destinées aux personnels des hôpitaux de pays à faibles ressources. Ce développement, multilingue, présenté dans la revue Frontiers in Public Health, marque une nouvelle ère dans la communication et la formation médicale mondiale.
Cette analyse menée par des chercheurs médecins du National Center for Complementary and Integrative Health (NCCIH/NIH) révèle une augmentation significative du recours aux approches de santé complémentaires, notamment pour la gestion de la douleur. Des données, publiées dans le Journal of the American Medical Association (JAMA), qui révèlent un engouement pour le yoga, la méditation, la massothérapie, les soins chiropratiques, l'acupuncture, la naturopathie et d’autres.