Globalement, on considère et on recherche 3 types de facteurs de maladies ou de bonne santé, génétiques, environnementaux et épigénétiques. Cette analyse préliminaire des données de la The Finnish GeneRISK study, présentée au Congrès annuel de l’European Society of Human Genetics (ESHG) est favorable à l’accès du patient à ses données « génomiques » ou génétiques personnelles. Une information qui permettrait à chacun en toute connaissance de cause de réduire ses facteurs de risque environnementaux dont de mode de vie et d’adopter les meilleurs comportements.
La plupart des patients hospitalisés en service des urgences souhaiteraient être impliqués dans certains aspects de la prise de décision médicale. C’est la principale conclusion de cette étude d’une équipe d’urgentistes du Massachusetts General Hospital présentée dans la revue Academic Emergency Medicine, qui invite à travailler, de manière plus large sur les conditions et la mise en œuvre de ce principe de décision médicale partagée.
Cette étude d’une équipe de soignants du Boston Medical Center (BMC) s’est penchée, pour la première fois sur ce que les patients et les soignants attendent du système de santé, ou en pratique des organisations, pendant une transition de soins. Alors que les hôpitaux, en particulier, travaillent continuellement à améliorer ces transitions, en sortie d’hospitalisation par exemple, et vers des établissements de soins ou le domicile, on n’a rarement interrogé sur le sujet les patients et les soignants.
L’intelligence artificielle (IA) dans les soins de santé se développe rapidement, avec de nombreuses applications actuellement utilisées ou en développement dans le monde entier. Le Nuffield Council on Bioethics (Londres), un organisme indépendant qui examine des questions éthiques en biologie et en médecine, a décidé de se pencher sur les applications actuelles et possibles de l’IA dans les soins et sur les problèmes éthiques qui peuvent être associés à son utilisation.
Cette charte médicale, une initiative pour l’instant américaine, comprend de premiers engagements pour limiter l’épuisement professionnel des médecins et favoriser leur bien-être, durant et en dehors de leur exercice professionnel. A l’origine de cette charte, des experts, médecins, de la Mayo Clinic et d’autres grands centres médicaux américains. En effet, plus de la moitié des médecins américains affirment qu’ils sont épuisés dans leur travail.
Les dossiers de santé électroniques (DSE ou dossiers médicaux électroniques) existent depuis des décennies. Cependant, la plupart des systèmes existants ont été axés sur les maladies et les paiements à l’acte, et non sur le patient, ou ses besoins ou encore les objectifs des cliniciens pour ses soins. Depuis, le parcours de soins a donné la priorité au patient et est centré sur ses résultats de santé.
Les transitions dans les soins ou entre différents niveaux ou types de soins sont courantes dans le parcours des personnes âgées atteintes de maladies chroniques. Du domicile à l’institution (EHPAD) ou à la maison de soins infirmiers, voire de l’institution à l’hôpital et parfois aux services des Urgences, ces transitions constituent des étapes critiques au cours desquelles la continuité et la qualité des soins sont primordiales, pour le patient âgé bien sûr, mais également pour ses aidants naturels.
Les transitions dans les soins ou entre différents niveaux ou types de soins sont courantes dans le parcours des personnes âgées atteintes de maladies chroniques. Du domicile à l’institution (EHPAD) ou à la maison de soins infirmiers, voire de l’institution à l’hôpital et parfois aux services des Urgences, ces transitions constituent des étapes critiques au cours desquelles la continuité et la qualité des soins sont primordiales, pour le patient âgé bien sûr, mais également pour ses aidants naturels.
Cet article de réflexion ne répond pas mais s’interroge sur la place de la thérapie holistique ou la pratique d’une médecine « corps-esprit » par les cliniciens exerçant auprès de patients en fin de vie. « Les cliniciens pourraient assumer cette prise en charge « holistique » des patients atteints de maladies chroniques et en phase terminale, soutient cet expert du comportement, le Dr Thomas Egnew, du Service de Médecine de la Famille de l’University of Washington School of Medicine.
L’exercice des médecins devrait se recentrer sur les soins personnalisés et non sur des tâches transactionnelles, plaide cet article d’opinion, d’experts de l’Université de Californie Los Angeles (UCLA). Cette nouvelle vision ou évolution du rôle des médecins, présentée dans les Annals of Family Medicine, implique également des changements dans la formation médicale, le mode d’exercice et l’organisation de la prestation, les outils technologiques mis à disposition et dans la politique de santé, bien sûr.