Le ministre de la Santé vient de prendre connaissance de la décision du Conseil constitutionnel sur la loi de modernisation de notre système de santé. Le Ministre se réjouit, dans un communiqué, de la validation par les sages de la quasi-totalité de la loi de modernisation du système de santé. La décision du Conseil constitutionnel modifie notamment l’étape du 30 novembre 2017 du tiers payant généralisé.
L’intérêt croissant pour les app mobiles de type e-pansement pour le choix des dispositifs et de la télésanté pour améliorer l’accès aux soins tout en réduisant les coûts s’avère particulièrement légitime quand le patient est âgé, à domicile et à mobilité réduite. Cette étude de l’Université Vanderbilt, Nashville), présentée dans le JAMA Surgery, confirme la préférence de vétérans pour la télésanté mais surtout un taux réduit de complications, ici post-opératoires.
Retenu parmi les 9 projets inclus dans l’expérimentation des maisons de naissance publiés au Journal Officiel du 26 novembre 2015, le CALM, une association d’usagers et de sages-femmes qui milite pour l’ouverture des maisons de naissance en France et soutient la profession de sage-femme, fait part des difficultés qui restent à surmonter. Si l’enthousiasme et la détermination sont au rendez-vous, il s’agit encore de parvenir à développer un modèle viable dans un contexte financier restreint.
Le tiers payant résoudra-t-il vraiment les problèmes d’accès aux soins ou de report –pour près de 30% des Français ? Si l’Assemblée nationale a voté le 27 novembre 2015, en nouvelle lecture, avec l’article 18 de la Loi de Modernisation du système de santé, sa généralisation, de très nombreux arguments y restent opposés. La mesure phare et emblématique du projet, qui permettrait aux usagers quels qu’ils soient de ne plus avancer le coût de la consultation chez le médecin généraliste n’est-elle finalement qu’une posture politique ?
Si de nombreux acteurs tentent de se positionner sur le segment du rendez-vous médical avec différentes solutions de gestion, logiciels ou agendas en ligne, aujourd’hui, c’est un spécialiste historique du marché de la santé, Cegedim, qui propose, avec Docavenue, toute une plateforme de services médicaux, dont une solution innovante de prise de rendez-vous médicaux en ligne. Et cette expertise de la santé fait toute la différence: le service ici n’est pas limité à la prise de rendez-vous, c’est une approche globale métier et santé, qui séduira les professionnels comme les patients.
Le Ministre de la Santé a annoncé, le 17 novembre, la mise en place immédiate de la gratuité des soins et la simplification des procédures de prise en charge par l’assurance maladie pour les victimes de terrorisme. Un numéro unique (0 811 365 364) permet dès aujourd’hui aux victimes d’obtenir des informations sur leur situation personnelle.
Dans le cadre du projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) pour 2016, le gouvernement avait proposé, en septembre dernier, des mesures dont la nécessité est malheureusement apparue ces derniers mois : la gratuité des soins et la simplification des procédures de prise en charge par la sécurité sociale pour les victimes d’actes terroristes.
Parmi les 5 professions de d’auxiliaires médicaux dont les actes sont pris en charge par l’Assurance maladie, 2 professions, infirmiers et masseurs-kinésithérapeutes sont mises à l’index par la Cour des Comptes, dans son dernier rapport sur la Sécurité sociale 2015. En cause, l’augmentation plus rapide des dépenses liées à ces soins, en partie subordonnés à prescription médicale. Des conclusions jugées hâtives par les représentants de ces professions.
Si vous êtes responsable ou chef d’entreprise, ou professionnel de santé employeur, vous vous trouvez dans l’obligation de mettre en place une complémentaire santé collective en faveur de vos salariés. La loi prévoit pour cela une échéance : le 1er janvier 2016. L’accord National Interprofessionnel (ANI) entre en effet dans sa phase de concrétisation. Voici comment l’intégrer au mieux à votre activité.
« Les personnes comme vous, on préfère les mettre en fin de matinée, ça permet de nettoyer le cabinet… ». C’est l’une des réflexions recueillies par ce testing téléphonique de prise de rendez-vous pour des personnes vivant avec le VIH, mené par l’Association AIDES, auprès de plus de 400 cabinets dentaires. Des résultats qui parlent d’eux-mêmes sur les discriminations et la différence de traitement à l’égard des patients séropositifs.
Un incident sur 10 à l’encontre d’un médecin reste une agression physique. Avec plus de 900 incidents recensés, depuis 2003, c’est le 3è niveau le plus élevé de violence à l’égard des médecins, selon ce nouvel Observatoire 2014 de la sécurité des médecins 2014. La mise en œuvre d’une politique volontaire de prévention et d’éducation reste donc plus que jamais d’actualité pour l’Ordre des médecins.