Cegedim Logiciels Médicaux vient d’obtenir l’agrément Identifiant National de Santé (INS) pour ses logiciels Crossway et Médiclick. Cette nouvelle certification qui garantit le partage, de manière fiable et sécurisée, des données de santé d’un patient entre les différents acteurs de sa prise en charge, apporte une preuve de l’engagement de l’Éditeur dans la e-santé, avec des solutions sécurisées et interopérables.
Cegedim Logiciels Médicaux, principal éditeur français de logiciels destinés aux professionnels de santé, vient de recevoir l’agrément du Centre National de Dépôt et d’Agrément (CNDA) pour l’intégration et le déploiement de l’INS dans ses logiciels Crossway et Médiclick.
Ces niveaux élevés de détresse évalués au plus fort de la pandémie COVID-19, chez les infirmières et les médecins ne sont certes pas une surprise. Mais avec la moitié des effectifs atteints de symptômes dépressifs, l’étude présentée dans la revue General Hospital Psychiatry montre toute l’ampleur de ces effets psychologiques chez les personnels de santé. Des données qui montrent toute l’urgence de mettre en place de nouveaux protocoles à l’hôpital pour répondre à ce type de crise sanitaire.
Dans la crise sanitaire inédite que nous venons de traverser, les communautés professionnelles territoriales de santé (CPTS) se sont souvent avérées précieuses dans la prise en charge et le suivi de patients suspectés ou atteints par la COVID-19. Coordination et partage d’information ont en effet permis, en ville et en lien avec l’hôpital, d’accueillir et d’orienter les patients rapidement et efficacement.
Ce capteur portable, nommé « VitalScout » et présenté par une équipe de bioingénieurs de l’Université de Galles du Sud permet d’évaluer les niveaux de stress. Documenté dans les Physiological Reports, ce dispositif pourrait contribuer à mieux contrôler et prévenir le burn out, en particulier chez les médecins, les infirmiers et autres personnels de santé.
La forte prévalence du stress et de l’épuisement professionnel est bien documentée chez les professionnels de santé, rappelle l’auteur principal, le Dr Damian M.
Cette approche en gestion, appliquée à la Santé nous apporte quelques surprises. Concentrer la continuité des soins sur les patients les plus malades peut permettre de réaliser des économies considérables sur les dépenses de santé, démontre d’abord cette équipe de l’Institut de recherche opérationnelle et des sciences de gestion de l’Université de Caroline du Nord. Au-delà d’un certain seuil, la continuité des soins n’apparaît cependant plus aussi bénéfique pour le patient, qui devrait alors s’entourer de plusieurs référents.
Dans le monde entier, alors que des millions de personnes restent à la maison pour réduire au maximum la transmission du nouveau coronavirus SARS-CoV-2, les professionnels de santé se préparent à faire exactement le contraire. Ces médecins, infirmiers, aides-soignants et les autres personnels de santé sont en première ligne dans les cliniques et les hôpitaux, mais aussi dans les cabinets et les centres de soins de ville, exposés à un risque particulièrement élevé de COVID-19.
Les personnes atteintes de comorbidités chroniques ont besoin d'un soutien et de services médicaux et hospitaliers supplémentaires, ce qui entraîne des dépenses de santé plus élevées. Cette équipe de la George Mason University (Virginie) qui a analysé l’expérience de soins des patients souffrant de multiples maladies chroniques dans un centre de santé centré sur le patient (CareFirst Patient-Centered Medical Home), apporte à nouveau une confirmation de l’importance de soins coordonnés pour les résultats de santé mais aussi pour le vécu des patients.
Un rapport de consensus, américain, montre que l'épuisement professionnel est fréquent chez les professionnels de santé. Publié par la National Academy of Medicine (NAM), le rapport indique que l’épuisement professionnel touche aujourd’hui entre un tiers et la moitié des infirmières et des médecins américains et entre 45 et 60% des étudiants en médecine. Il préconise des recommandations centrées non seulement sur la création d’environnements de travail et d’apprentissage plus efficients mais aussi sur la réduction de la charge de travail administratif.
Un travail à horaires variables est plus rarement un choix qu’une nécessité économique. Cette grande enquête de Santé britannique, présentée par le National Health Service confirme que le travail posté, corrélé à des rythmes circadiens perturbés est associé à des taux plus élevés d'obésité et de problèmes de santé. Les principaux effets du travail posté : un indice de masse corporelle (IMC) plus élevé et une incidence accrue des maladies chroniques, comme le diabète.
La démarche de coopération concerne tous les professionnels de santé, quel que soit le secteur et cadre d'exercice (libéral, salarié en établissements de santé public ou privé, centres de santé, cabinet libéral, maison de santé pluridisciplinaire…). Les pharmaciens, comme les médecins, sont particulièrement concernés. La loi HPST a eu, notamment, pour objectif de favoriser le développement des coopérations entre professionnels de santé.